-
Vol. 11 nº 1, juillet 2024
br>
Workshops from Matei and Phillips (2023a and b) explored the potential contents of ideal health education for post-secondary music students with 67 experts in relevant fields (including musicians, academics, and health professionals). Mental health, mindfulness and yoga, physical activity, injury management, and time management and irregular schedules were among the range of topics that were deemed important to include in health education for musicians. Experts also agreed that musicians should be equipped with critical appraisal tools to help with treatment selection and with questioning resources or information presented to them. While these workshops explicitly discuss higher education in the uk, the fundamental ideologies reflect a larger necessity for a global approach to musicians’ health and wellness. With these recommendations for specific content in hand, and with the increase of research in this field in recent years, many educators and researchers agree with Gail Berenson (2014, p. 19), who stated: “With our professional associations leading the way, every teacher has the ability to access the essentials of wellness information, helping to ensure a healthy future for performers everywhere.”
-
Vol. 11 nº 1, juillet 2024
br>
Les quatre articles retenus, issus du Ménestrel, du Courrier musical, et de La Revue musicale, permettent de donner un aperçu de la place qu’occupait le folklore dans la presse musicale française de 1912 à 1935. Ils illustrent les différentes façons par lesquelles les musicographes français·e·s ont abordé le folklore après la course à la cueillette des chansons régionales. Loin de présenter un front commun sur son importance, certain·e·s souscrivent à l’idée ruraliste voulant que le folklore soit une musique authentique qui doit être sauvée alors que d’autres voient en lui un potentiel outil autant pour la création musicale que pour la définition d’un certain nationalisme.
-
Vol. 9 nº 2, décembre 2022
br>
À la suite de la recension, par Sylveline Bourion, du 1er tome révisé de mes Musique, langage vivant, cette réponse a pour but de préciser à quel public s’adresse l’ouvrage – ce dont elle ne semble pas avoir tenu compte. Elle a aussi pour objectif de faire connaître le contenu non recensé et enfin de contester certains reproches qui m’apparaissent comme la conséquence de malentendus découlant d’une différence d’approche de l’analyse.
-
Vol. 7 nº 2, octobre 2020
br>
Lieu dévolu principalement à la formation des interprètes, le Conservatoire de Paris (CNSMDP) s’est engagé récemment dans l’enseignement de la médiation aux musicologues et aux musicien·ne·s se destinant à la pédagogie, ouvrant ainsi les cursus à des disciplines moins exclusivement musicales, tournées notamment vers la sociologie et l’étude des publics. Afin de comprendre en quoi ce choix est révélateur à la fois de l’évolution de la musicologie et de ses pratiques, et des résistances de l’institution à une médiation musicale qui s’imposerait aux interprètes et aux compositeurs, nous reviendrons sur l’histoire du Conservatoire et de ses missions afin d’y observer l’apparition de la médiation et d’en étudier les développements.
ISSN : 2368-7061
© 2024 OICRM / Tous droits réservés