• RMO_vol.4.2_Trottier

    RMO_vol.4.2_Trottier

  • La création d’Another Brick In the Wall – L’opéra_5

    Figure 5 : Julien Bilodeau, Another Brick in the Wall – l’opéra, p. 53. Cette page tirée de la scène rattachée à la chanson « Another Brick in the Wall. Part I » donne un bon aperçu des figures en répétition qu’utilise Bilodeau et la manière dont il les travaille par section instrumentale en créant des effets d’addition ou de soustraction dans la texture d’ensemble.

  • La création d’Another Brick In the Wall – L’opéra_4

    Figure 4 : Julien Bilodeau, Another Brick in the Wall – l’opéra, p. 121. Dans ces six premières mesures de la scène associée à la chanson « Young Lust », on peut voir à l’œuvre le travail de Bilodeau à travers une figure archétypale : le motif évoluant du grave à l’aigu par mouvement conjoint ascendant est relayé d’un instrument à l’autre (des contrebasses jusqu’aux flûtes) et devient ainsi le geste phare qui campe l’atmosphère de la scène.

  • La creation d’Another Brick In the Wall – L’opera_3

    Figure 3 : Julien Bilodeau, Another Brick in the Wall – l’opéra, p. 176. Les notes entourées dans les lignes vocales chantées par le chœur sont les quatre principales notes des deux accords, soit fa dièse mineur avec la neuvième ajoutée pour la première et dernière mesures et sol dièse mineur avec la neuvième ajoutée pour les deux mesures du milieu.

  • La creation d’Another Brick In the Wall – L’opera_2

    Figure 2 : Julien Bilodeau, Another Brick in the Wall – l’opéra, p. 310. Cette dernière page de la partition montre la façon dont le chœur est travaillé au sein de l’opéra et le rôle qu’il prend en fin d’œuvre : une fois les dernières paroles chantées à la mesure 1011, le chœur poursuit son chant à travers l’onomatopée « ooh » dans une harmonie de do majeur ; les silences jouent un rôle de balancement entre les différentes phrases musicales tout en s’accumulant jusqu’à la fin en contraste avec les notes tenues.

  • La creation d’Another Brick In the Wall – L’opera_1

    Figure 1 : Julien Bilodeau, Another Brick in the Wall – l’opéra, première page. Les trois premières mesures qui se trouvent encadrées dans l’exemple sont celles où est citée l’ouverture de la Première symphonie de Brahms : on y reconnaît l’usage des timbales mais dans un rythme différent (des noires en 3/4 plutôt que des croches martelées en 6/8), le travail par rythme syncopé ainsi que les notes conjointes ascendantes en contraste avec les notes conjointes descendantes, le tout dans la tonalité de mi mineur plutôt que celle de do mineur.


  • ISSN : 2368-7061
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